Nous ne réa­li­sons rien, d’ailleurs, nous vivons juste l’instant pré­sent.

Ils marchent d’un pas lent, très lent, mais ils avancent vers moi. Bête à cornes, bête à man­ger du foin !! Nous réa­li­sons un aller-retour qui nous rem­plit de bon­heur. Tels seront les plats prin­ci­paux de nos nuits d’altitude, agré­men­tés de cho­co­lats et de thé menthe-réglisse.Nous pas­se­rons 3 jours entre le camp 1 à 6400 mètres et l’installation du camp 2 à 7200 mètres. Une mau­vaise nuit pour nous tous, je pense que l’excitation en est pour beau­coup. Cho-Oyu 8201 mètres, le point le plus élevé que j’ai atteint avec mes clients. Nos sacs ne sont pas trop lourds, ils contiennent la tente et toute la nour­ri­ture pour le camp 1. Heureusement, le plai­sir de la décou­verte et de l’effort reprennent vite le des­sus !Une longue moraine nous conduit au pied du géant puis nous remon­tons le « killing slop » un pier­rier à 45°, agréable à des­cendre, mais pour le moment, nous devons le remon­ter ! Vers 16h00 ils arrivent. Le Cho Oyu étant l'une des montagnes de 8000 m, les moins technique, la voie normale est facilement empruntée par les guides et les expéditions commerciales. Voici la pre­mière des réflexions que je me suis faite en ter­mi­nant le télé­phone avec Jean Guillaume. Tous droits réservés. Tout le monde va bien. Au bas de cette par­tie, je lais­se­rai Jean Guillaume et Alexis, pour rejoindre plus rapi­de­ment le camp 2. Les images montrent bien l’ état dans lequel nous étions. 7900 mètres. Quelle joie d’obtenir des pro­duits par troc et non avec des Yuans ou des Dollars. Elle est ainsi au bénéfice d’une grande expérience, dispose d’une excellente formation et met un point d'honneur à être serviable et courtoise.Avant de faire un choix d’ascension, chacun de nous veut, en principe, connaître les détails et difficultés de la voie d’ascension.

Je pense que cela a été la clé de la réus­site de ce périple.Le camp de base se trouve à plus de 5600 mètres et ce n’est vrai­ment pas ano­din de vivre plus de 4 semaines à cette alti­tude !Le camp de base après la période de mau­vais temps fin sep­tembre. David prend la pho­to.Cinq jours plus tard, la neige colore le camp de base de ses 60 cm tom­bé en 4 jours. « Violence !

Vous avez la possibilité de combiner la présente Expédition au Cho Oyu avec celle du Il ne s’agit pas de vaincre la montagne, mais soi-même. Chaque participant dispose d’une tente individuelle, doublement isolée. Cela dans le but de leur pré­pa­rer à boire et à man­ger.Au camp 2 je croise un ami guide qui me laisse envoyer un sms en Suisse ;Moins de deux minutes plus tard, le télé­phone satel­lite sonne, c’est pour moi. Les nuits sont sous tente sont basées sur deux personnes par tente.Votre sécurité, ainsi que celle de l'équipe entière, sont fondamentales lors de votre Expédition avec WILD YAK EXPEDITIONS.Par ailleurs, nous vous rendons attentifs au fait que l'Equipe de Sherpas est à disposition de l'entier des participants, et non pour un participant individuellement et constitue une aide inestimable dans le bon déroulement de cette Expédition : aide pour porter le matériel collectif, pour faire la trace, monter et démonter les camps, équiper l'itinéraire. Nous retrou­vons Yann, Michel, Richard et Stéphane au camp 1. Je décuple mon effort, prin­ci­pa­le­ment pour enfouir ces émo­tions que je ne m’autoriserai qu’au som­met, dans 180 mètres. Nous ne réa­li­sons pas encore l’importance que ce moment aura sur le reste de nos vies. Nous avons cha­cun une tente per­son­nelle au camp de base, ce qui néces­site une grande sur­face.Après la construc­tion des « fon­da­tions »de notre camp de base, nous pre­nons 4 jours de repos. Nous sommes le 27, encore deux jours avant de par­tir vers un rêve. Nous nous engageons à organiser nos Voyages de WILD YAK EXPEDITIONS se concentre sur des groupes de En nous focalisant sur de petits groupes, nous bénéficions d'une Le Camp de Base de WILD YAK EXPEDITIONS est confortable, chaud et bien organisé.