All structured data from the file and property namespaces is available under the Creative Commons CC0 License; all unstructured text is available under the Creative Commons Attribution-ShareAlike License; additional terms may apply.

Merleau-Ponty va ensuite présenter plusieurs artistes. La troisième partie montre ce que Cézanne dit de son œuvre en particulier la façon dont il se rapporte à la tradition.Analyse du chapitre partie par partie (1ère grande partie) :Il s’agit de l’introduction. Cézanne soutient que la tradition et la science sont les moyens de la perception. Il déclare avoir voulu faire de l'impressionnisme ‘quelque chose de solide comme l'art des musées’. La philosophie de l’art de Nelson Goodman peut être globalement caractérisée comme une manière de poser la question de l’art qui prétend différer radicalement des manières (dites) traditionnelles de formuler cette question. Néanmoins, cette explication d’un comportement, d’un caractère n’explique pas, selon Merleau-Ponty, n’explique pas sa peinture.Ce paragraphe est une objection à ce qui précède. « Le doute de Cézanne » est extrait du livre Sens et non-sens, publié en 1966 par Merleau-Ponty (né en 1908 et mort jeune). Il s’agit d’un livre posthume regroupant des textes datant de 1945 à 1947 (après-guerre), dont certains ont été publiés dans la revue fondée par Jean Paul Sartre, Les temps modernes. Balzac imagine, sans doute sur les indications de Delacroix, un peintre qui veut exprimer la vie même par les couleurs seules et garde caché son chef-d'œuvre. [Mauro Carbone] 1- Pourquoi Cézanne chercher-t-il à échapper aux alternatives qu’on lui propose et qu’elles sont-elles ? Dans cette partie, Merleau-Ponty va chercher le sens de l’œuvre de Cézanne dans sa vie. Cézanne est un génie mais n’arrive pas à surmonter les difficultés de sa maladie, ce qui est le point de vue de son environnement, de son entourage comme Zola (nous apparaissons aux autres et ce sont eux qui vont nous définir). Cézanne ne cherche pas à suggérer par la couleur les sensations tactiles qui donneraient la forme et la profondeur.

Pour tous les gestes qui peu à peu font un tableau, il n'y a qu'un seul motif, Il y a une cohérence donnée autant par la couleur que par le dessin. Texte : « L'incertitude et la solitude de Cézanne ne s'expliquent pas, pour l'essentiel, par sa constitution nerveuse, mais par l'intention de son œuvre.

C’est par ce ‘ LE DOUTE DE CÉZANNE ’ que s’est ouvert,en 1945, le dialogue entre Merleau-Ponty et Cézanne. Merleau – Ponty présente une double-tension.

Les assiettes ou les coupes posées de profil sur une table devraient être des ellipses, mais les deux sommets de l'ellipse sont grossis et dilatés. Cézanne malte nicht das, was er von der Natur weiß, sondern das, was er sieht. Ces relations abstraites devaient opérer dans l'acte du peintre, mais réglées sur le monde visible. Merleau-Ponty fait le détour par ces choses qui sont faites pour être vues, qui donnent le spectacle du monde en se donnant en spectacle : les tableaux. Pascal DUPOND proposera une explication des passages du  En effet, Cézanne souffrait d’une maladie et on pourrait croire que sa peinture est maladive, qu’il s’agit de la manifestation de sa maladie. « Le doute de Cézanne » est extrait du livre Sens et non-sens, publié en 1966 par Merleau-Ponty (né en 1908 et mort jeune).

Pour Cézanne, Courbet est intéressant car il aime peindre la nature. Il s’agit d’une prise de position avec les mouvements artistiques de son époque. Il s’agit d’un livre posthume regroupant des textes datant de 1945 à 1947 (après-guerre), dont certains ont été publiés dans la revue fondée par Jean Paul Sartre, Les temps modernes. A la page 18, Merleau-Ponty conclue en disant qu’en réalité, pour comprendre la peinture de Cézanne, il faut prendre la moitié de ce qu’il en a dit, ce qui se généralise pour l’art : il faut être sourd à demi quant à ce que dit l’artiste. Dans cette partie, Merleau-Ponty va chercher le sens de l’œuvre de Cézanne dans sa vie.

La troisième partie montre ce que Cézanne dit de son œuvre en particulier la façon dont il se rapporte à la tradition.Analyse du chapitre partie par partie (1ère grande partie) :Il s’agit de l’introduction. La peinture de Cézanne se rapproche de l’esthétique impressionniste mais n’est pas impressionniste, comme il souvent été associé à ce mouvement. Nous percevons ce qui nous est familier. Il y a une cohérence donnée autant par la couleur que par le dessin. Get this from a library! Ce chapitre est découpé en plusieurs parties. Ce chapitre est découpé en plusieurs parties. C'est le retour aux choses qui constitue l'inspiration originale de la phénoménologie. Si l’artiste n’avait qu’une seule chose à dire, il n’existerait pas d’œuvre car l’art permet de dire l’indicible. Merleau-Ponty va ensuite présenter plusieurs artistes.

Du début du chapitre jusqu’à la page 28, Cézanne est au centre du sujet et à partir de la page 28, il s’agit de Léonard de Vinci (pour compléter l’analyse de Cézanne). Commentaire de texte, maurice merleau-ponty, « le doute de cézanne » (paragraphe 18 page 25-26.). Les alternatives, quant à elles, sont entre le dessin et la couleur, la nature et l’art, la perspective et la perception. Cézanne est un génie mais n’arrive pas à surmonter les difficultés de sa maladie, ce qui est le point de vue de son environnement, de son entourage comme Zola (nous apparaissons aux autres et ce sont eux qui vont nous définir).

Les alternatives, quant à elles, sont entre le dessin et la couleur, la nature et l’art, la perspective et la perception.