La philosophie de Nietzsche est une philosophie de l’approbation de la vie. 31.
Pour lui, l’artiste est le modèle du « surhomme », celui qui fait de sa vie une œuvre d’art, car l’art ne se limite pas aux interprétations que nous nous faisons de la vie –l’art est la vie elle-même, il réapparaît avec chaque nouvelle forme de vie. »Parce qu’il est essentiellement production de formes belles, de belles apparences, l’art nous voile le fond tragique de la réalité et s’avère ainsi producteur d’illusions protectrices de la vie.« Si nous n’avions approuvé les arts et inventé cette sorte de culte du non-vrai, nous ne saurions du tout supporter la faculté que nous procure maintenant la science, de comprendre l’universel esprit de non- vérité et de mensonge de comprendre le délire et l’erreur en tant que conditions de l’existence connaissante et sensible. Ce dernier n’est pas un simple personnage adroit, c’est un créateur qui vit vraiment son œuvre. Alors que pensait Nietzsche de l’art? Pour lui, l’art est soumis à la volonté créatrice de l’artiste. … Pour lui, l’art par excellence n’est autre que la musique, car elle traduit des états d’âme sans représentation de formes extérieures. Comme un remède à la connaissance. Pour lui, l’art est soumis à la volonté créatrice de l’artiste. Commandez le livre LA FONCTION DE L'ART SELON NIETZSCHE ET FREUD, Françoise Pochon-Wesolek - Nietzsche, Freud, psychanalyse, art - Ouvrage disponible en version papier et/ou numérique (ebook)
«métaphysique de l'art» à une «physiologie de l'art», et les changements de vocabulaire associés à cette transition. Les illusions artistiques ne protègent pas la vie en la fuyant mais en la sublimant.
L’art est le plus puissant stimulant de la vie, car il est l’illusion qui permet de résister au fait que la vie ne soit qu’illusion.Pour Nietzsche, il y a aussi une dualité dans l’art. En d’autres mots, il s’agit de considérer l’art à partir de l’artiste et non pas à partir des œuvres ou des spectateurs. En 14 ans son pts de vue a changé…Je me trompe ?La modération des commentaires est activée. L'art selon nietzsche. L’apollinien qui représente l’apparence, la forme (Apollon étant le dieu des formes) et le dionysiaque qui se traduit par la dissolution de toute forme.
Il commence en quelques sortes par un renversement ; ce que les gens pensent être le principal de l’art « véritable », c’est-à-dire les œuvres d’art, ne sont en fait qu’un
Des artistes, nous devons apprendre à devenir « les poètes de notre vie » L’art ne nous invite pas à nous évader de la réalité mais à la magnifier. Et de fait, c’est dans La Naissance de la tragédie, publiée en 1871, qu’il pose les fondements de sa philosophie de l’art. Élève brillant, doué d'une solide éducation classique (milieu dominé par les femmes et imprégné de piétisme protestant), Nietzsche est nommé à 24 ans professeur de philologie à l'université de Bâle, puis professeur honoraire l'année suivante .
C’est à ce point «Que survient l’art, tel un magicien qui sauve et qui guérit. On peut s'interroger sur le rôle de cette prise de conscience. C’est lui seul qui rend possible la vie, c’est la grande tentation qui entraîne à vivre, le grand stimulant qui pousse à vivre. L’interposition du mythe, du récit tragique, rend alors supportable l’expression de ce que la condition humaine implique de démesure, dans l’extase comme dans la souffrance.«L’Hellène profonda percé d’un regard infaillible l’effrayante impulsion destructrice de ce qu’on appelle l’histoire universelle aussi bien que la cruauté de la nature… L’art le sauve mais par là c’est la vie qui le sauve à son profit. L’apollinien qui représente l’apparence, la forme (Apollon étant le dieu des formes) et le dionysiaque qui se traduit par la dissolution de toute forme. Piètre philosophe, Wagner voit en Nietzsche le théoricien génial de son art ; musicien laborieux, Nietzsche voit en Wagner le génial illustrateur de la révolution esthétique qu’il cherche à promouvoir. Il ne s'agit pas seulement d'une constatation physiologique : l'art nous donnerait un certain enthousiasme pour la vie. Fév 28, 2011. in Culture.
L’ivresse étant l’aspect physiologique du phénomène artistique. Pour lui, l’art par excellence n’est autre que la musique, car elle traduit des états d’âme sans représentation de formes extérieures.
»Nietzsche compare l’homme dionysiaque à Hamlet : comme lui, il a « jeté un vrai regard au fond de l’essence des choses », il ne ressent plus que dégoût pour l’action et « ne voit plus désormais partout que l’horreur et l’absurdité de l’être ». Propulsé par WordPress - La-Philosophie.com - 2008-2020 En quoi le devenir primitif a-t-il besoin d'être stimulé, lui qui est indifférent à l'individu ? Ensuite, philosopher consiste à argumenter de manière rationnelle sur son étonnement.Depuis 2008, la-philosophie.com agit pour la diffusion de la tradition et des grandes pensées philosophiques.
Pour lui, l’art est soumis à la volonté créatrice de l’artiste.
Qu’est-ce que l’univers pour nous si ce n’est ce qui est compris dans notre existence ?L’univers n’a pas de sens, il est absurde, l’homme lui donne un sens puisqu’il est créatif.Très bel article, j’ai justement fait deux interviews sur Nietzsche et sa philosophie dionysiaque, donc aussi sur sa vision de l’art, ou son “éthique esthétique” :Je trouve cet article très intéressant, pouvez vous svp donner quelques sources (ouvrages de Nietzsche) ou l’on peut retrouver cette pensée en plus détaillée ?Parler de vérité nietzschéenne est un contre-sens non ?Votre article va dans le sens inverse de la préface écrite par Nietzsche en 1886, “Essai d’autocritique” soit quelques années après la publication de “La naissance de la Tragédie” :Donc pas de métaphysique !