En cas de pratique assidue, il ne faut pas s’abstenir de tout rappel ultérieur, les sorties longues ne sont pas toujours Le travail de force permet de développer la musculature spécifique du vélo et particulièrement celle de la position à adopter. Dans ce sens, les entraineurs préparent des plans d’entraînements avec des séances de plus en plus sophistiquées, alliant technologies et méthodes plus classiques mais toutes aussi fondamentales tel que : Quel que soit le type de pratique. La plupart des cyclosportifs tournent autour de 80 tours par minute sur le plat et 65 tours par minute en cote. Une charge unilatérale peut entrainer un déséquilibre entre le côté gauche et droit du corps et entre différents muscles, d’où l’intérêt de plusieurs professionnels du cyclisme laissent le vélo au repos pour à la place, enfiler un maillot de bain ou des chaussures de jogging.Ce genre d’entraînement possède un effet secondaire agréable, le cycliste serait en meilleure forme et gagne en performance d’une manière générale. Yakarouler, spécialiste des pièces auto de rechange vous en donne quelques exemples. Dans ces séances, on met davantage l’accent sur la technique de pédalage plus que sur le développement de votre potentiel physiologique. Enfin, arrive la phase d’affûtage à quelques jours de la compétition avec moins d’heures de selle et quelques efforts explosifs.Le schéma est bien rodé, ses objectifs en termes de performance individuelle ne peuvent se réaliser sans une stratégie efficace en termes d’entraînement.
Elle doit être développée ou entretenue toute la saison :Si la vélocité est primordiale, le cyclisme actuel requiert également de la force.Comment travailler la musculation spécifique (sur le vélo) ?– Débuter par un échauffement de 20 min en vélocitéBut : La puissance consiste à allier la vélocité et la force lors d’efforts intensifs. Seul un tronc stable permet une transmission de force optimale sur les pédales.Qu’on soit professionnel ou amateur, ainsi que dans tous les sports, tout entrainement de cyclisme doit commencer par une bonne série d’échauffement. On parle de force endurance, force maximale, force vitesse, parfois même d’explosivité, etc. Afin d’atteindre les objectifs fixés, les différentes phases d’entraînements vélo sont bien calculées. Il est important d’adapter les efforts, de monter en régime de façon progressif.
Ses capacités de pur grimpeur lorsque la route s'élève lui valent les surnoms du « Grimpeur ailé » ou de l'« Ange de la montagne ». L'entraînement de Francesco Moser pour le record de l'heure en 1984 est le tournant le plus important. Comme pour le travail de force, pendant cette période, le travail de vélocité doit se faire à faible intensité, c’est-à-dire avec une fréquence cardiaque autour de 70% à 80% de la fréquence cardiaque maximum.Pour un cycliste, il est particulièrement important d’avoir un entraînement équilibré afin d’éviter les blessures de longues durées, celle-ci peuvent subvenir s’il y a une charge unilatérale trop importante. Cela dépend de spécificités physiologiques du coureur, en prenant en compte ce paramètre et l’épreuve pour laquelle on s’entraîne, on adapte la méthode de travail pour améliorer ce paramètre tant important qu’est la puissance.Le vélo est par essence une question de vélocité, le travail de vélocité permet de travailler ce coup de pédale parfait, celui qui va vous permettre de pouvoir appuyer avec la même force pendant tout le long de l’épreuve. D’après les scientifiques l’optimum est d’atteindre 90 t/min sur le plat et 75 t/min en montagne, même si aujourd’hui les meilleurs du contre la montre arrivent à 110 t/min sur une heure.Le travail de la vélocité permet aussi d’améliorer votre coup de pédale. Le coureur est mince, maigre parfois.
Débutant généralement l’hiver avec des séries d’efforts longs combinées à des séries à faible intensité, dans le froid et souvent peu motivants.A l’approche du printemps on passe à un cycle de travail au seuil et de rythme. Même le cycliste amateur est concerné, composé de plusieurs cycles de quelques semaines chacun.