À cette première question, il existe une grande pluralité des opinions philosophiques, sociologiques, ou idéologiques à propos de la religion. »Avec le développement de la technologies et des sciences, il y aurait peut être matière à penser à une nouvelle cosmologie religieuse que le philosphe n’avait pas lorsqu’il était éclairé à la chandelle.La modération des commentaires est activée.
À cette première question, il existe une grande pluralité des opinions philosophiques, sociologiques, ou idéologiques à propos de la religion. Dans le nominalisme, le nom est intuitivement lié à l'existence, de sorte que si l'on ne peut pas définir la chose et lui constater une existence conforme à sa définition, on dit que la chose n'existe pas ou qu'elle n'est pas ça. Il s'agit de savoir ici ce que sont les religions en général, et non de parler de telle ou telle religion. À l'extrême, les penseurs engagés dans cette voie se répondent les uns aux autres par des livres faisant le bilan des arguments pour et contre l'existence des dieux. Et ces approches scientifiques, comparatistes, rationnelles étudient l'existence des dieux comme manifestation récurrente et production éminemment humaine, liée aux contextes environnementaux, historiques, sociologiques. La philosophie est aussi interrogation sur elle-même de sorte que celui qui veut philosopher sur la religion, ne peut se contenter de prendre la religion pour objet, mais il est aussi conduit à s'interroger sur ce qui lui permet de savoir qu'il y a des religions, ou que tel phénomène peut être dit religieux. »« La religion est le soupir de la créature accablée, le cœur d’un monde sans cœur, comme elle est l’esprit d’une époque sans esprit. Le fait de croire peut en effet être abordé comme une fonction de la religion : la religion aurait ainsi pour fonction de répondre à un besoin de croire, par exemple, en proposant de croire en une vie après la mort, elle permettrait de faire face à la peur de la mort comme le présuppose la pensée freudienne, ou bien encore elle aurait pour rôle d'assurer le lien social en fournissant aux sociétés un socle de convictions communes et incontestables. La principale distinction entre les diverses approches de la philosophie de la religion se fait entre les approches dites « essentialistes » et les approches dites « fonctionnalistes »2. # Qu\'est-ce que la religion d\'apr\u00E8s la nouvelle philosophie allemande.Qu\'est-ce que la religion d\'apr\u00E8s la nouvelle philosophie allemande.\" ;Qu\'est-ce que la religion d\'apr\u00E8s la nouvelle philosophie allemande.\" ; # Qu\'est-ce que la religion d\'apr\u00E8s la nouvelle philosophie allemande. Le propre des théories scientifiques est d'être prédictives et réfutables. Les formes élémentaires de la vie religieuse, Presses Universitaires de France, Durkheim, Émile. Or il est possible de constater l'existence d'une pomme en fonction d'une définition, ce type de constat n'est pas possible pour Dieu, pas plus que pour n'importe quel phénomène n'étant pas un objet matériel. En revanche, dieu, les idées, les principes, étaient considérés comme des objets privilégiés de science (être un objet de science et être un objet, cela n’a pas le même sens), comme s’ils étaient précisément les objets que notre raison nous destine à connaître. Aussi la métaphysique était considérée comme une science beaucoup plus certaine, beaucoup moins sujette au doute, que les sciences d'observation.
Ce principe n’était pas jugé convaincant par les défenseurs de la métaphysique. Les religions ont diverses interprétations de la part des philosophes et des théoriciens "fondateurs" des diverses sciences de l'homme.

La philosophie de la religion est la partie de la philosophie qui pose la question de savoir ce qu'est une religion1. En revanche, dieu, les idées, les principes, étaient considérés comme des objets privilégiés de science (être un objet de science et être un objet, cela n’a pas le même sens), comme s’ils étaient précisément les objets que notre raison nous destine à connaître. Les formes élémentaires de la vie religieuse, Presses Universitaires de France, Durkheim, Émile. Cependant, dans une telle approche, la croyance, d'abord posée comme fonction de la religion, se présente aussi comme son essence. Dans quelle mesure est-il possible de se dispenser de croire ? Cependant, dans une telle approche, la croyance, d'abord posée comme fonction de la religion, se présente aussi comme son essence. Ce problème détermine ainsi non seulement les débats sur l'existence de Dieu, mais aussi sur la religion elle-même. La religion est sans doute née de la nécessité de donner un sens à sa vie face à l'imminence de la mort : elle permet de trouver du réconfort dans l'idée d'un être au-delà de notre monde, avec qui une relation spirituelle peut s'établir. Dans ce sens il existe la foi commune, une doctrine, ou idéale, partagée par tous les membres d'une société, et la foi individuelle, qui est un mélange de la personnalité et des expériences de l'individu d'une part, et de la foi collective, voire idéale, de l'autreCette idée se retrouve également dans la conception plus psychologique de Un grand nombre d’entre nous réagit de la façon suivante : Comment pouvait-on croire que l’on puisse faire la science d’un être qui n’existe peut-être pas ? Victor Hugo rapporte une anecdote qu'il attribue à Arago« étude simultanément psychologique et religieusement féconde »« d’une part, une pénétration théorique de tous les phénomènes de l’esprit, et d’autre part, une piété née de l’imagination créatrice et symbolique de « La question philosophique fondamentale d'une philosophie de la religion est celle qui cherche à comprendre son essence »Durkheim, Émile. Ceci rend peut-être les gens plus heureux, mais peut-être surtout plus dociles et plus serviables envers la ou les « société(s) » dont ils font partie, il en est ainsi selon Il est important de comprendre que le symbole religieux ne fait qu'hypostasier la force de la société, et le pouvoir de la À cette option interprétative de Durkheim, chacun peut cependant objecter le problème de la foi personnelle. Pour les croyants, Dieu est l'Entité Suprême qui a donné son origine à l'Univers et il serait l'Être qui commande les forces maîtrisant l'équilibre et la conservation de cet univers. Les phénomènes, la matière en mouvement, tout ce qu’on voit, étaient considérés comme des objets par nature peu connaissables, tout simplement parce qu’on les connaissait très mal, ou en tout cas pas aussi bien qu’aujourd’hui.