À travers ce point de vue Jean-Paul Sartre a mit sur pied la pièce de théâtre Huis clos. Vous aussi écrivez votre commentaire ou votre critique Et cependant la vie est là, terminée [...]. Tu n'es rien d'autre que ta vie ... JP Sartre titchevreuil. Médiocre Estelle tente même de poignarder Inès, sans succès : ils sont éternels, éternellement ensemble, pour le pire. Arrive enfin Estelle. On meurt toujours trop tôt - ou trop tard. L’angoisse que nous ressentons lorsque nous sommes confrontés à l’univers immense et sans signification est quelque chose que Sartre appelle «nausée». Elle est aussi la plus jouée de son oeuvre de théatre. » Qui est-il, Jean-Paul Sartre, à l’aune de ce slogan existentialiste ? "On meurt toujours trop tôt ou trop tard. Zadig va d'aventure en aventure, parfois malheureux, mais toujours ho...Question 1 : Dom Juan, une pièce comique ou tragique ? -L’actualité des œuvres littéraires - Mise en valeur du « toi » par le présentatif « c'est » => accentue la différence avec Estelle, qui n'a pas besoin d'être convaincue puisqu'elle s'en fiche totalement (elle ne s'intéresse qu'au corps)- « de ma race » = ressemblance G et Inès, compréhension mutuelle- l.1 : « c'est à cause d'elle que je suis resté » => la reconnaissance d'Inès est plus forte que l'emprisonnement physique => garcin est surtout prisonnier du jugement d'Inès- « je dois convaincre » l.26 + « je ne pouvais pas » l.27-28 = modalisateurs « devoir » et « pouvoir » qui induisent l'obligation psychologique, pour la tranquillité de conscience de G. - « Si tu me crois, tu me sauves » l.40 : cette absolution de G. passe par Inès : le « tu » d'Inès est sujet tandis que le « me » de Garcin est objet.

Voir les offres d'abonnement à Philosophie magazine :philosophes avides de divergences de pensées : https://www.youtube.com/watch?v=9d2L8_VkmGE (:“Tout le malheur des hommes vient d'une seule chose, qui est de ne pas savoir demeurer en repos dans une chambre”Saisissez votre nom d'utilisateur pour Philosophie magazine.Saisissez le mot de passe correspondant à votre nom d'utilisateur.Annie Ernaux. Cette citation peut éclairer une définition du désir quand il faut le distinguer du besoin purement corporel ou de l’instinct animal.

Cette surprise est marquée par les deux femmes : didascalie d'Estelle : « avec stupeur » l.4 + répétition incrédule d'Inès : «A cause de moi ? Le principe fondateur de la philosophie est sans doute ainsi l’étonnement, qui provoque et suscite le questionnement. Sartre apporte la réponse suivante : l’homme est libre de tous ses choix donc il en mérite les conséquences. -Relation entre le livre, le lecteur et la lecture Termine sur une autre question rhétorique, encore un paradoxe, ou au moins une antithèse : « une vie » / « un seul acte » => Sa vie = le choix de « chemins les plus dangereux » et ce « seul acte » = la fuite de Garcin vers Rio pour ne pas avoir à combattre. L’œuvre de cet auteur est marquée par son contexte historique….JEAN-PAUL SARTRE ET SIMONE DE DE BEAUVOIR, UNE HISTOIRE -La Relation entre l’art et la réalité (Le réel et la fiction ) Mais même cet « argument » ne peut pas fonctionner : d'une part parce qu'ils sont morts, d'autre part, parce qu'Inès montre que sa pensée ne peut pas être empêchée : « on n'attrape pas les pensées avec les mains » l.921) en opposant l'acte et l'imagination, l'action et le projet : -elle pose l'hypothèse que Garcin n'a fait qu'imaginer qu'il était un héros :répétion de mots de la famille de rêve : « rêvé » l.57, l.64, 67-Elle montre qu'il n'a jamais agi dans un sens héroïque : répétion du terme « actes » : « les actes » l.68, « mes actes » l.71.-Elle ironise sur le soi-disant héroïsme de Garcin : « tu avais du coeur » l.58, « héros » l.59, + « danger » l.61, « pied du mur » l. 61 (double ironie, G. est mort fusillé, contre un mur probablement), les points de suspension participent aussi de l'ironie puisque la chute est en décalage avec l'héroïsme qui précède : « Tu as pris le train » = son seul acte était un acte de fuite. Mais ce n’est pas un salon ordinaire: il représente l’enfer, juste après sa mort. » montre plus On voit dès l’entée de la pièce les thèmes sartriens : le besoin d’autrui pour se définir (Garcin dépend des réponses du valet), la critique de la religion (qui fait d’en bas l’enfer, dans Huis Clos c’est la vie qui est “en bas”).Puis arrive Inès, le second personnage introduit en enfer. Comment l’utiliser ?